
Lamentations.
Mon souhait était de créer du lien. Alors comment répondre à ces désespérances ?
Je m'en sens bien impuissant.
Mon souhait était de créer du lien. Alors comment répondre à ces désespérances ?
Je m'en sens bien impuissant.
Pour ne rien dire, ou presque, Pour ne pas s’envoler dans le commentaire, Pour rester à la confluence du savoir et de l’ignorance : au pied du mur. Montrer : comment c’est , comment ça se passe, comment ça marche. Diviser les discours par des faits, Les idées par des gestes, par des photos Juste les commenter quotidiennement.mobile pw 06 48 24 82 34


 La Jeanne d'Arc mesure 181,38 m de long, 24 m de large et 52 m de haut. Sa masse évolue entre 10 575 t et 13 270 t selon son chargement. Quatre chaudières multitubulaires de type dissymétrique[3] fournissent en énergie le navire et ses quatre turbines Rateau-Bretagne. Ainsi le navire dispose d'une puissance électrique de 4 400 kW et d'une puissance de 40 000 ch (29 420 kW) pour mouvoir deux hélices[4]. À pleine puissance le porte-hélicoptères pouvait initialement atteindre 27 nœuds soit 50 km/h.
 La Jeanne d'Arc mesure 181,38 m de long, 24 m de large et 52 m de haut. Sa masse évolue entre 10 575 t et 13 270 t selon son chargement. Quatre chaudières multitubulaires de type dissymétrique[3] fournissent en énergie le navire et ses quatre turbines Rateau-Bretagne. Ainsi le navire dispose d'une puissance électrique de 4 400 kW et d'une puissance de 40 000 ch (29 420 kW) pour mouvoir deux hélices[4]. À pleine puissance le porte-hélicoptères pouvait initialement atteindre 27 nœuds soit 50 km/h. cliquer sur le site aaesff en lien sur ce blog. 44 offres depuis sa nouvelle présentation - Merci à Grégory Monseau (esff 2000) qui a oeuvré utilement pour vous.
cliquer sur le site aaesff en lien sur ce blog. 44 offres depuis sa nouvelle présentation - Merci à Grégory Monseau (esff 2000) qui a oeuvré utilement pour vous. Émilie Da Silva ne regrette pas une seconde d’avoir opté pour une carrière professionnelle au sein de l’industrie. (Credit Photo @ Le Journal de Saône- et Loire)
 Émilie Da Silva ne regrette pas une seconde d’avoir opté pour une carrière professionnelle au sein de l’industrie. (Credit Photo @ Le Journal de Saône- et Loire)  800 M€. C’est le montant des 21 investissements directs auxquels le FSI a procédé en 2009 pour accompagner PME de croissance, ETI et grands groupes. (selon dgcis)
 800 M€. C’est le montant des 21 investissements directs auxquels le FSI a procédé en 2009 pour accompagner PME de croissance, ETI et grands groupes. (selon dgcis) "Au niveau de ses ingénieurs, Cézus met aussi en place un suivi du personnel. Il tient compte à la fois du degré de compétences de l’individu mais aussi des risques de le voir quitter le site pour un départ en retraite ou une évolution professionnelle. C’est le “knowledge management” qui n’est pas sans lien avec les parcours de professionnalisation créés pour les opérateurs.L’idée c’est de ne pas se retrouver pris au dépourvu, avec une perte de compétences.« On tient compte du degré de compétences, de l’expérience ou non de la personne » précise Philippe Heurley. Un ingénieur métallurgiste tout droit sorti de l’école, n’a pas les connaissances pointues, par exemple en matière de fusion, qu’un ingénieur qui vient de passer cinq ans sur le site d’Ugine. Pas question donc pour la direction de le laisser partir sans l’avoir “remplacé”, sans avoir organisé un transfert de compétences. Grâce à ce suivi du personnel, recrutement et formation peuvent être anticipés. Et la performance de l’usine maintenue".Dauphiné Libre.
 "Au niveau de ses ingénieurs, Cézus met aussi en place un suivi du personnel. Il tient compte à la fois du degré de compétences de l’individu mais aussi des risques de le voir quitter le site pour un départ en retraite ou une évolution professionnelle. C’est le “knowledge management” qui n’est pas sans lien avec les parcours de professionnalisation créés pour les opérateurs.L’idée c’est de ne pas se retrouver pris au dépourvu, avec une perte de compétences.« On tient compte du degré de compétences, de l’expérience ou non de la personne » précise Philippe Heurley. Un ingénieur métallurgiste tout droit sorti de l’école, n’a pas les connaissances pointues, par exemple en matière de fusion, qu’un ingénieur qui vient de passer cinq ans sur le site d’Ugine. Pas question donc pour la direction de le laisser partir sans l’avoir “remplacé”, sans avoir organisé un transfert de compétences. Grâce à ce suivi du personnel, recrutement et formation peuvent être anticipés. Et la performance de l’usine maintenue".Dauphiné Libre.