17 mai 2010

Knowlege management

"Au niveau de ses ingénieurs, Cézus met aussi en place un suivi du personnel. Il tient compte à la fois du degré de compétences de l’individu mais aussi des risques de le voir quitter le site pour un départ en retraite ou une évolution professionnelle. C’est le “knowledge management” qui n’est pas sans lien avec les parcours de professionnalisation créés pour les opérateurs.L’idée c’est de ne pas se retrouver pris au dépourvu, avec une perte de compétences.« On tient compte du degré de compétences, de l’expérience ou non de la personne » précise Philippe Heurley. Un ingénieur métallurgiste tout droit sorti de l’école, n’a pas les connaissances pointues, par exemple en matière de fusion, qu’un ingénieur qui vient de passer cinq ans sur le site d’Ugine. Pas question donc pour la direction de le laisser partir sans l’avoir “remplacé”, sans avoir organisé un transfert de compétences. Grâce à ce suivi du personnel, recrutement et formation peuvent être anticipés. Et la performance de l’usine maintenue".Dauphiné Libre.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Mouais, "knowledge management" mais je ne voudrais pas jouer les Eric Zemmour !

Anonyme a dit…

C'est un peu ce principe qu'a adopté notre cher sélectionneur national de foot !!!

Anonyme a dit…

ca ne serait pas les petites plaques de mister fargues?!

piwi a dit…

et oui, ca me sert pour illustrer.

Anonyme a dit…

En Français, svp.