07 avril 2010

Nicolas Hayek : il commença par la fonderie


de ses beaux parents .
Histoire d'un succès dans Les Echos : cliquer.
"Il partage avec Steve Jobs, Bill Gates ou Ingvar Kamprad, le privilège d'avoir dépassé la simple notoriété de patron à succès pour devenir un gourou planétaire. Ce 23 mars, Nicolas Hayek reçoit « Les Echos » au Salon mondial de l'horlogerie de Bâle, sur le stand Breguet, l'une des dix-neuf marques de Swatch Group. En bras de chemise, deux montres à chaque poignet, un bloc-notes sur lequel il accompagne ses démonstrations de courbes et de cercles, cet homme de quatre-vingt-deux ans, héros de l'une des plus belles aventures industrielles de ces trente dernières années - la création de Swatch et le sauvetage de l'industrie horlogère suisse -, a gardé l'enthousiasme d'un jeune homme. Né à Beyrouth, licencié en mathématiques et en physique à l'université de Lyon, il gère la fonderie familiale du père de son épouse avant de créer sa propre maison de consultant, Hayek Engeneering, en 1963. Vingt ans plus tard, il réunit les pièces éparses d'une horlogerie suisse en déshérence et en fait de nouveau une industrie puissante, grâce notamment aux emblématiques montres Swatch vendues à plus de 400 millions d'exemplaires."

1 commentaire:

piwi a dit…

Swatch & Smart : on lui doit cela.

Il a sauvé l'industrie horlogère Suisse il détient tout le marché c'est donc à la tête d'un cartel qu'il se situe.
Pour la Smart, c'est à Mercédes de demander à qui cette saga a rapporté ou plutôt combien 9a a coûté.