05 août 2009

Tout est bien qui finit bien


7 commentaires:

Anonyme a dit…

Si j'ai bien compris la cloche est morte.

Anonyme a dit…

Sauf pour ce salarié (info du Monde)

"Mohammed Sheikh, un ouvrier originaire du Pakistan, a été licencié, le 5 juin, pour avoir rechargé la batterie de son téléphone portable et avoir pris des photos sur son lieu de travail. Son employeur, une fabrique d'emballages d'Oberhausen, dans la Ruhr, l'accusait d'avoir volé de l'électricité, soit un coût pour l'entreprise de 0,014 centime d'euro par chargement, a calculé un ingénieur..."

Quand on vous dit qu'il va falloir rapidement ressortir les guillotines...

Anonyme a dit…

..pour l'enfoiré qui dirige cette entreprise. Car on ne peut décemment pas utiliser le terme de patron ou de responsable.

balaca a dit…

Je ne cotionne aucunement ce patron mais où est le lien avec ce blog sur la fonderie. Ce n'est pas une tribune politique.
Si vous cherchez des polémiques patrons-ouvriers, il y a d'autres lieux our cela.

Anonyme a dit…

Quand le maitre du blog n'est pas là..c'est le toutou qui répond.

Anonyme a dit…

nouvel anonyme
d accord avec le dernier anonyme si l on commence a traite de la politique au lieu de s occuper de nos veritable probleme d industrie nous sommes dans la m....

Anonyme a dit…

Le commentaire du 07 ne visait pas à mettre en évidence une énième confrontation patrons-ouvriers. Simplement à montrer comment parfois, le comportement de qq fous furieux (de quelque classe sociale qui soit), peut jeter le discrédit sur l'ensemble. Déjà que la période actuelle est difficile, il est inutile d'en rajouter par des comportements anti-sociaux caractérisés. Comment voulez-vous après ça, après les révélations sur les parachutes dorés, les primes de bienvenue et autres privilèges indus de certains patrons, que la population ait de meilleurs sentiments vis-à-vis de ces gens.? Ce genre de fait divers, au delà du caractère pusillianime de la faute et de l'énormité de la sanction est plutôt de nature a exacerber les ressentiments et l'hostilité des salariés. Voire le caractère extrémiste et jusqu'au boutiste de ceux qui en subissent les conséquences (chômage,etc).

Moralité : que ce Monsieur BALACA refléchisse à deux fois avant de commenter à chaud sur des a-prioris...et etudie cette citation :
"Ce n'est pas dire des sottises qui est grave, mais les dire au nom des principes."