Adossée à la dernière page de la revue "Fondeur d'Aujourd'hui", cette célèbre chronique dont se souviennent tous les anciens, on la devait à Suzanne Poueymarie ancienne collaboratice du CTIF, ici en grande discussion avec Armand Hannequin.Elle continue d'adresser quelques unes de ces réflexions et découvertes à l'Amicale ESFF .
On lui doit l'article sur les "frères précheurs" dans la dernière revue.
Ceux qui veulent lui faire parvenir un petit mot peuvent y aller de leurs commentaires ici.
Je transmettrai.

2 commentaires:
Toutes les bonnes choses ont une fin... il est dommage que la chronique appartienne au passé.
J'apprécie d'en mettre un morceaux en annexes de mes rapports de l'ESFF.
Saint-Copyright pardonne moi...
Par les temps qui courrent, on pourrait poursuivre avec la chronique du vieux frondeur.
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