Le sable de la fonderie SBFM sauve du feu une entreprise voisine
C’est au moyen de sable trouvé dans la Fonderie bretonne voisine, la SBFM, que les sapeurs-pompiers du pays de Lorient ont éteint le feu qui se consumait dans un tas de poudre de zinc entreposé dans un bâtiment de l’entreprise ASM.
Le sinistre s’est déclaré le mardi 22 décembre 2009 à 14 h à l’Atelier shoopage microbillage (ASM) installé sur la zone artisanale de Kergoussel, à Caudan. Eu égard aux spécificités de cette société, de lourds moyens ont été engagés, dont un véhicule du centre de secours de Lorient dédié aux risques technologiques. Sept véhicules des pompiers du seul centre de secours de Lorient ont convergé vers le site ASM.Le sable de la SBFM sauve l'entreprise voisine du feu
Toutefois, les sapeurs-pompiers arrivés sur place n’ont pu faire usage d’eau ou de mousse, au risque de provoquer une explosion. Il leur a donc fallu trouver du sable, que la fonderie voisine leur a fourni, et qu’ils ont déversé sur la poudre de zinc en fin d’après-midi. Les quatre personnes présentes dans l’entreprise ont dû être évacuées. Il n’y a pas eu de blessé, ni de dégâts d’ailleurs.
Commentaire: Une belle histoire de Noël avec une fonderie dans le rôle du sauveur, donnant le sable de son fournisseur gratuitement (malgré le prix).
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5 commentaires:
Ça ressemble à la virgule près (et au commentaire près) à un post passé quelques jours avant sur un autre blog :
http://souspression.canalblog.com/archives/2009/12/26/16281295.html
Il n'est pas interdit de reprendre une info sur le net (tout le monde le fait). Par contre, il serait correct de citer ses sources.
Ce commentaire m'a été transmis par Joel Le Gal.
La source serait don le blog sous pression deu CTIF.
Mille excuses monsieur Hairy.
Je pense aissi qie votre blog que j'apprecie est en lien ici.
On peut trouver des synergies.
Je peux aussi vous confier les clefs de ce blog.
Une question pour Piwi (et maintenant pour Gilles Ferraille): fin du commentaire: Le sable est-il si cher que celà?
"le sable ne serait pas cher, ce serait le transport qui serait cher..." c'est ce qu'on disait de mon temps.
Piwi, n'exagère pas: De ton temps, c'était il y a quinze jours à peine.
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