28 septembre 2008

460 m sous terre


la mine .La découverte d'une passion pour un métier difficile. Nous recommandons le détour.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Celà me rappelle ma jeunesse et les stages que j'ai fait dans ma première année d'Ecole des Mines de Saint Etienne.
Souvenirs inoubliables, un métier très dur.
Passion, volonté d'être "au fond".
Quelque chose de passé, mais que je partage aujourd'hui avec mes tous mes compagnons de mine des années 60.

Anonyme a dit…

Je rajoute au propos de Joël Le Gal, un livre que je lui conseillerais pour se replonger entièrement dans cet univers et ces hommes. Il s'intitule : "Nous, les derniers mineurs" d'Elise Fischer & Camille Oster.
Le regard de ces hommes qui en ont bavé mais à la solidarité d'équipe et de compagnonnage m'ont laissée sans voix. En est-il de même dans l'univers de la fonderie, de moins en moins, sûre ... encore que ... un électron libre avec un amour sincère et véritable de l'humain et toute la mentalité d'un groupe peut changer à son contact, l'inverse existant aussi ... je ne vous souhaite pas de le rencontrer