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Pour ne rien dire, ou presque, Pour ne pas s’envoler dans le commentaire, Pour rester à la confluence du savoir et de l’ignorance : au pied du mur. Montrer : comment c’est , comment ça se passe, comment ça marche. Diviser les discours par des faits, Les idées par des gestes, par des photos Juste les commenter quotidiennement.mobile pw 06 48 24 82 34
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5 commentaires:
Quel est le poste le plus pénible entre un conducteur de train et un ébarbeur, un coquilleur ... bref un fondeur un vrai ???
Réponse : ébarbeur, couleur main!!!
Mais le plus malheureux c'est qu'en faisant greve, le fondeur n'attire point les médias et n'a pas dimpact, n'handiquapant pas le pays...
Et en plus, son travail est bien plus penible que l'agent SNCF (qui par ailleurs se plaint de travailler le WE ... il a jamais entendu parlé des feux continus le bougre).
Et pourtant, on nous prépare un nouveau "truc" génial du genre plan amiante bis : la pénibilité !…
Les critères d'accès donnant droit à une cessation d'activité anticipée pour travaux pénibles, proposé par le patronat, sont les suivantes: 40 ans d'activité salariée sans limite d'âge, 30 ans d'exposition à des contraintes physiques ou psychiques marquées, à un environnement agressif, à certains rythmes de travail, et l'existence de "traces durables, identifiables et irréversibles" sur la santé.
À ce train là, il va falloir former de plus en plus de psychiatres pour pouvoir juger des lésions psychiques irréversibles engendrées par les conditions de travail.
Il faudra ensuite faire une nouvelle loi pour pallier les "dégâts collatéraux" de la première car les premiers à partir en raison de toute cette pression "grandguignolesque" devraient être… les dirigeants d'entreprises!
http://www.challenges.fr/actualites/business/20071126.CHA3927/penibilite__les_negociations_reprendront_le_11_decembre.html
Dans la foulée de l'annulation de certaines commandes par la chaîne de vêtements américaine Gap en raison de l’utilisation d’enfants, ce sont à présent des fonderies indiennes qui risquent de perdre des contrats compte tenu de leurs conditions de travail et de sécurité. Le New-York Times a publié un reportage sur la fonderie indienne “Shakti Industries” qui illustre des scènes dignes du Moyen-Âge où corps et pieds nus s’affairent, sans l’aide de machines, à la production de plaques d’égout pour la société américaine “Con Edison”. En raison du coût de la main d’oeuvre, ces “trous d’hommes” sont peut-être 20 à 60 pour cent moins chers que ceux fabriqués aux Etats-Unis. Interrogée, Sunil Modi, directrice de Shakti Industries, a répondu : "Nous ne pouvons pas maintenir le luxe de l'Europe et des Etats-Unis avec des bottes et tout cela… "
http://www.earthtimes.org/articles/show/148333.html
http://www.indiaenews.com/america/20071126/82832.htm
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