au Nouvion sur Meuse a été liquidée.Elle employait 34 salariés jusqu'à ce 22 juin.
Je me souviendrai longtemps de l'opiniatreté de Monsieur Claude Lagrange et de ses collaborateurs sur la "fisamatic".
Cette fonderie travaillait pour la quincaillerie et les GSB qui elles se développent partout n'auront pas su faire le geste qui sauve.
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3 commentaires:
Après la fonderie d'Auxerre, la fonderie Rollinger…
La fonderie Rollinger, située à Nouvion-sur-Meuse, a été mise en liquidation judiciaire. Elle employait 34 salariés. Malgré un carnet de commande correct, l’entreprise n’était plus en mesure de faire face aux échéances de plus en plus lourdes du plan de continuation, qui en était à sa neuvième année.
Combien de ces entreprises, autorisées à poursuivre leur activité dans le cadre d'un plan de continuation, ont cru en des lendemains meilleurs et ont opté pour des échéances "de plus en plus lourdes"? Combien seront encore là dans dix ans?
Et qui est dans ce cas aujourd'hui?
Et surtout, pourquoi les donneurs d'ordre se délectent de les pourrir et de les regarder mourir en essayant encore d'en tirer quelques bénéfice, sans un état d'âme pour les salariés qui sont accablés et dont tout le monde se fout.
Y'en a marre des grands patrons qui tirent au maximum les prix et qui ensuite partent avec des millions en poche pour se relaxer aux seychelles sans même songer un instant a ceux qui payent pour leur incompétence et leur arrogance.
Qu'ils crèvent en enfer
Et oui...
Mais je crains que se ne fusse plus complexe que cela. Car si les pays low cost nous prennent des marchés, n'oublions pas que nous sommes équipés de voiture confortable et sure à bas prix justement parce que les pays LC existent (idem pour votre électroménager et vos PC qui vous servent a distribuer vos post!!)
Donc, avant de hurler aux loups, rappellez vous qui a applaudit a leur venue ans votre cora!
Quands aux patrons, l'on peux leur souhaiter tout le mal que l'on veux, il se trouvent qu'ils dirigent le système, et que pour changer cela, il faut voter (et non passer son 17 juin a pécher, sans mauvais jeu de mot)
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