MFI du groupe Grifs est repris au 15 mai par la Société Fonderie Mayennaise par décision du tribunal de commerce de Vienne .Le directeur Industriel est JJ Lucas.
on en saura plus avec vos habituels feed back.
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5 commentaires:
La nouvelle société, en la personne de Mr LUCAS, a informé ses fournisseurs par fax mais trés peu d'info dans ce courrier.
Qui est actionnaire, combien de personne compte la nouvelle société,...
A suivre...
Signé: LA CLOCHE
Les nouvelles vont vites...
http://www.laval.maville.com/actu/re/actudet/actu_dep-406451----La-fonderie-de-Mayenne-est-sauvee_.html
66 personnes sur 111 sont gardées.
Repreneur: une société d'investisseurs et de chefs d'entreprise dont le dirigeant et basé à Orléans.
L'objectif de production est de 450 tonnes/mois.
Carnet de commande plein jusqu'en Septembre.
Cubilots remplacés par des fours électriques avant Août 2008 avec l'aide de fonds publics.
Affaire à suivre!
Signé: LA CLOCHE
Etape N° 1 : Fax d'information sans guère d'éléments, effectivement …
Etape N° 2 : Négociation de nouvelles conditions de paiement …
Etape N° 3 : À suivre …
Mayenne Fontes Industrie cédée à des entreprises locales
23/05/2007
Capital
Mayenne Fontes Industrie, filiale du groupe de fonderie Grifs située à Mayenne, est reprise par un groupe d’entrepreneurs et de financiers, locaux pour la plupart. Le plan de cession a été validé par le tribunal de commerce de Vienne (Isère) où se trouve le siège du groupe, placé en liquidation judiciaire le 3 avril dernier. La société prend le nom de Fonderie Mayennaise et redémarre avec 66 salariés alors qu’un plan social vient de supprimer 45 emplois.
La PME qui fabrique en particulier des corps de pompe, des raccords, de la robinetterie et des diffuseurs restera positionnée sur les petites et moyennes séries et tentera de proposer davantage de finitions (usinage, peinture). Les prix des produits, « aujourd’hui en dessous du marché », seront revalorisés.
Côté investissements, Fonderie Mayennaise est mise en demeure par la Drire de remplacer d’ici à août 2008 ses deux cubilots à coque par deux fours électriques. D’importantes réparations sur l’outils industriel s’imposent également. L’entreprise table sur un chiffre d’affaires annuel compris entre 8 et 10 millions d’euros, essentiellement auprès d’une clientèle française.
Les deux autres sites du groupe Grifs, à Saint-Eloy-les-Mines (Puy-de-Dôme) et à Villefontaine (Isère), seront fixés sur leur sort fin mai. Les quelque 80 salariés devraient être repris par un groupe chinois.
pour ceux qui veulent lire :
http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2025&id=23
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