Le tribunal de commerce de Montluçon a homologué mercredi le plan de continuation de l'activité de la fonderie de Vaux (Allier), Bréa SA, présenté par le groupe Euralcom. Appuyé par un nouvel actionnaire, Euralcom s’est engagé sur un plan social de deux ans sans licenciement, en apportant 5 millions d’euros d’argent frais dans le projet.
Source : radiorva
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9 commentaires:
Une petite info dans la même veine :
MB automotive sera repris par Arche, puisqu'il s'agit du seul repreneur potentiel ayant déposé un dossier. Et avec 66 licenciements à la clef...
But the show must go on...
Et une de sauvée !
Bravo, il faut continuer, la fonderie française mérite mieux que l'oubli et l'abandon de nos chers politiques!
Faut garder l'espoir et espérer que MB et Bréa soient sauvée. Cependant, si les ignorants qui les ont plongées dans le gouffre restent en place, alors, elles mourront malgré tout.
Quand aura t'on le courage de remettre en question les anciens en se demandant si ils ont leur place par leur mérite ou juste parce qu'il parlent mieux et savent mieux faire les courbettes aux actionnaires.
des noms, des noms...
On peut parler de ce qui va bien et des gens qui vont bien aussi…
Si certains veulent bien regarder par le bon bout de la lorgnette, Patrick Bellity -ESFF 82- avec le Groupe ARCHE nous offre une image de réussite particulièrement intéressante et motivante: SAM, PACY, SIGRE (si, si…), SIFA et bientôt MB Automotive qui devrait faire d'ARCHE le 3ème Européen…
On retrouve l'inventeur des «leading competitive country» ici:
Quand l’Aveyron rencontre Patrick Bellity, la SAM revit…
http://www.aveyron-expansion.asso.fr/fr/newsletter/newsletter_n5/newsletter_n5.htm#entrepreneurs
Et vous pouvez le retrouver, naturellement, ici:
Sup’Fonderie n° 246, 3ème trimestre 1994
Un nouvel actionnaire anonyme !!!
Au fait, tu as des nouvelles de l'ami Alain D… ?
Plus que trois groupe de fonderie sous pression en france.
Avec un petit peu de coopération, cela pourrais être la chance de l'aluminium sous pression... et le cauchemars des constructeurs.
D'accord pour tout, mais il est où, Alain?
Quelqu'un a des nouvelles?
Eh voilà ! Euralcom n'a pas donné son chèque, comme prévu. La société est reprise par un autre groupe. On peut tout de même affirmer que cette entreprise a été pillée ! c'est proprement scandaleux de voir que dans les repreneurs potentiels, il y avait les anciens dirigeants responsables de la chute de cette entreprise. Comme quoi, en France on peut bousiller une boite et se permettre de la racheter quelques temps plus tard ! Et en plus, ils n'avaient même pas honte !
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