Les fondeurs échangèrent pendant une journée complète avec les institutionnels de la formation sur l'art et la manière d'envisager l'avenir des métiers de la fonderie.
Les problèmes nous les connaissons tous, mais les solutions on n'arrive pas toujours à les mettre en place.
Ce fut l'occasion de tout remettre à plat et de se dire que les décisions prises serviront de socle au devenir de la profession.
Le déficit d'image de la fonderie nécessite une action en profondeur... notamment en matière de communication.
La formation aux métiers suppose et c'est basique, des professeurs rompus au métier : "un boulanger ne doit jamais former un boucher".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire