14 juillet 2008

Fonderie indienne qui livre New-york en plaques...


http://www.nytimes.com/2007/11/26/nyregion/26manhole.html?_r=2&scp=1&sq=foundry+india+sewer&st=nyt&oref=slogin&oref=slogin

7 commentaires:

Anonyme a dit…

La lecture du reportage du New-York Yimes est édifiante. Et après, de savants économistes et doctes politiciens nous expliquent que la mondialisation, c'est gagnant-gagnant!! Pour les patrons, de plus en plus riches, de ces pauvres hères qui traviilent comme des bêtes pour survivre, et aussi pour nos propres patrons "voyous" et autres fonctionnaires "déshumanisé"...

Anonyme a dit…

À lire aussi ici dans les commentaires :
http://lafonderiepiwi.blogspot.com/2007/11/ils-nont-pas-la-retraite-55-ans.html

Anonyme a dit…

Quand je comptabilise les investissements que représentent pour ma petite fonderie les casques, lunettes, guêres, gants, et autres moyens de protection, je ne m' étonne plus des différences de prix que l'on nous oppose avec ces pays émergents. Il me faut revoir ma stratégie.

Anonyme a dit…

Il est certain que les équipements coutent cher!
Mais les accidents du travail coutent encore plus cher !!!!
Quant aux maladies professionnelles n'en parlont pas !

Anonyme a dit…

Ouais, ben t'iras l'expliquer aux pauv'gars que l'on voit sur la photo, çà rassurera surement leurs veuves..

Anonyme a dit…

La photo : On dirait un peu un film "Indiana Johns et le temple maudit" qui se passe en Inde.

Mais tout ces commentaires ne sont-ils pas un peu réducteurs et simplistes ?

Toutes les fonderies Européennes (et occidentales) sont-elles parfaitement irréprochables au niveau conditions de travail ?

Anonyme a dit…

Réponse au message : non, toutes les fonderies occidentales ne sont surement pas irréprochables. Mais, aucune ne peut présenter un tel tableau "moyennageux"...

Alors s'il vous plait, arrêtez de toujours vouloir avoir "bonne conscience" et défendre l'indéfendable. Cette photo est la preuve de la duperie mondiale de la mondialisation, prétenduement gagnante pour tous, mais qui ne sert que les profits (très gros) de quelques uns.