07 mars 2009

Les temps changent

Se vogliamo avere lavoro oggi o nel futuro è utile parlare almeno una o più lingue straniere. Questo mi ricorda un vecchio DT di fonderia, ghironda scuola, che una quindicina di anni fa rifiutava i termini inglesi. I tempi sono bene cambiati da allora ed è tanto meglio.
Un francese in fonderia.

Traduction de ce commentaire par notre ami la cloche célèbre aussi pour ses pisés qui ont changé de nom :

"Si nous voulons avoir du travail aujourd'hui ou dans le futur il est utile de parler au moins une ou plusieurs langues étrangères. Cela me rappelle un vieux DT de fonderie de la vielle école qui il y a une quinzaine d'années refusait les termes anglais. Les choses ont bien changé depuis et c'est tant mieux.
Un Français dans la fonderie."

Volaré wo wow wo wo Cantaré...

9 commentaires:

  1. hormis l'anglais indispensable, quelles sont les langues aujourd'hui qu'il serait conseillé de connaitre? je sais que l'allemagne est très important en fonderie mais est ce que l'espagnol avec l'espagne,l'argentine ou encore l'italien ou le portuguais....

    RépondreSupprimer
  2. Vaut-il mieux être un "bon" fondeur affligé d'une médiocre pratique de anglais, ou un "médiocre" technicien qui maitrise la langue de H.G.Wells??

    Le problème de la langue, maintes fois rebattu, ne me semble pas être le 1er facteur à prendre en compte dans les compétences globales d'un individu. Il y a bien d'autres compéténces à possèder et mettre en oeuvre au quotidien : pratique et écriture du français, tout d'abord, pour pouvoir bien se faire comprendre, écrire sans (trop) de fautes, savoir dialoguer et présenter un rapport, un exposé, savoir négocier (important quand on a des gens à manager!!)....

    Savoir apprendre également et maintenir ses connaissances à jour, être curieux (démarche intellectuelle et volontaire), et bien d'autres aptitudes pas toujours innées ou identifiées, mais qui font la richesse et la compétence.
    Ne focalisons pas toujours sur la langue, ou le diplôme.

    Il vaut mieux un Bac Pro ou un BTS qui s'arrache et , mème s'il n'est pas top en Anglais...qu'un Bac + 12 infoutu de se mettre à la portée des autres, de vulgariser, de travailler en équipe, etc...quand bien mème il maitriserait 3 ou 4 langues.

    Un peu de logique, non?

    RépondreSupprimer
  3. je suis plutôt d'accord avec le commentaire ci-dessus.
    Bien vu.

    RépondreSupprimer
  4. Il faut avant tout savoir...LE LATIN!!

    En cas de chômage, on peut toujours se reclasser chez les intégristes à Econe.

    Un rapport d'analyse du C.T.I.F. tout en latin, ça doit en jeter un max. J'imagine déjà les termes (traduction non certifiée): lédéburitum, eutecticum,...Conclusion : merdum est!!

    RépondreSupprimer
  5. Le mieux est de connaitre suffisamment deux langues (anglais et ...) pour pouvoir converser avec ses clients et fournisseurs à l'étranger ; et d'avoir des connaissances techniques solides pour être un interlocuteur crédible. Heureusement, il existe de nombreuses solutions pour aider les personnes volontaires à améliorer les langues étrangères (institut de langues) et les connaissances techniques (cyclatef).

    Sur ce, pour bien connaitre le français, il faut aussi en connaitre les origines (grec et latin), n'en déplaise à certains...

    RépondreSupprimer
  6. Bien joué La Cloche. Ceci dit, l'italien est moins facile que certains le prétendent, en particulier la grammaire beaucoup moins facile que l'espagnol, plus proche du français.
    Celui qui a lancé le débat.

    RépondreSupprimer
  7. Aucune langue n'est facile, même pas l'anglais!
    Pour répondre à "07 Mars 19:59", je suis tout à fait d'accord avec lui mais parler une ou plusieurs langues étrangères est un plus précieux qui est très apprécié par la clientèle étrangère.
    Pourquoi les PME françaises exportent elles si peu?
    Elles ne sont pas plus mauvaises que les Allemandes ou Italiennes!

    Pour en revenir à l'Italien, j'ai bien sur était obligé de remettre le texte en bon français car les sites de traduction, aussi performant soient-ils, sont perfectibles.

    Pou rigoler, voici la traduction "brut de fonderie" du site http://www.reverso.net/text_translation.asp?lang=fr:

    "Si nous voulons avoir le travail aujourd'hui ou dans le futur c'est utile à parler un ou plus de langues étrangères au moins. Cela se souvient de moi un vieux DT de fonderie, l'école du ghironda que quinze années font a refusé les termes anglais. Les fois sont changées depuis lors bien et c'est meilleur tant.
    Un Français dans la fonderie."

    J'apprécie beaucoup ce genre d'exercice, surtout en ces périodes sombres, ça aère les méninges!

    Firmato: LA CAMPANA
    Signé: LA CLOCHE

    RépondreSupprimer
  8. Buonasera,
    pour ce qui est du du fondeur: il vaut mieux qu'il connaisse son métier, avant toute autre chose
    Quant au commercial, pour mieux vendre, un peu de langues étrangères ne fait certainement pas de mal.
    Ciao
    Bye-bye
    Hola
    Ni hao
    etc etc
    Jean Paul III°

    RépondreSupprimer
  9. Pour vendre en France, effectivement, le technicien doit bien connaître son métier. Pour vendre à l'export, c'est on ne peut moins sûr !
    Si j'avais attendu que les commerciaux traduisent les cahiers des charges et les normes en anglais, allemand, italien de nos clients… J'attendrais encore! (ils ne savaient même pas faire un poids de pièce !) Mais pourquoi est-ce que ces p… de dossiers arrivaient-ils toujours sur mon bureau ?
    Un petit test? Demandez à une secrétaire et à un technicien de traduire le même cahier des charges… Enjoy !

    RépondreSupprimer