"La sous-traitance est en quelque sorte victime d'une double peine: le ralentissement du marché et le déstockage des constructeurs", selon le secrétaire d'Etat à l'Industrie, Luc Chatel, "Là où le marché (des constructeurs) est à environ moins 10%, les sous-traitants sont plutôt autour de moins 30 à 40%", a-t-il chiffré.
"Le pacte automobile signé le 9 février fait une large part à la sous-traitance", se défend Luc Chatel, avec notamment un fonds de modernisation de 600 millions d'euros, des délais de paiement des constructeurs raccourcis et des mesures facilitant le chômage partiel.
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RépondreSupprimerOn est donc bien optimiste et bien loin du compte. Lorsque les constructeurs sont à -10, leurs sous-traitants sont à -60 !!!
RépondreSupprimer"Après moi le déluge" c'est ce que l'on retient de tout ce gâchis. Les carences en gestionnaires d'aujourd'hui font les carences en techniciens de demain! Il est bien loin le temps des grands capitaines d'industrie qui pensaient plus au futur qu'au présent, plus à l'enrichissement de l'homme qu'à leurs fortunes personnelles. Sans ces visionnaires l'enseignement technique n'existerait même pas !